18 octobre 2017 à 09:23
Revue de presse
Jérémy De Simone a commencé sa carrière footballistique au Breuil à l’âge de 7 ans. Aujourd’hui âgé de 40 ans, il fait son grand retour au sein de son tout premier club.
Sur le terrain de jeu, Jérémy De Simone impose le respect à l’adversaire du haut de son imposante stature (1,87 m pour 90 kg). Malgré ses 40 ans, il tient tête aux plus jeunes par le biais d’une longue expérience, son sens du placement et de la relance au sein de la défense brogélienne (R3). Actuellement, il souffre d’un claquage derrière la cuisse droite et il ronge son frein.
À quand remontent vos débuts dans le football ? « J’ai signé ma première licence au Breuil, en pupilles. J’avais à peine 7 ans. J’ai joué à Montchanin trois saisons où j’ai beaucoup appris sous les conseils de Thierry Kruajitch. J’ai fait des courts passages à Étang et Saint-Sernin mais je suis resté fidèle à la JO Creusot pendant 15 saisons où j’ai joué une saison en CFA 2 et presque toujours en division d’honneur sous la conduite de Christophe Merlès. Et puis, cette année, j’avais envie de retrouver autre chose dans mon premier club du Breuil. »
Autre chose, c’est quoi ?
« J’ai pris contact avec Vincent Rameau, le coach. Mon but de l’entretien était de devenir entraîneur joueur de l’équipe B, qui évolue en départementale. Mais les choses ont tourné différemment car Vincent avait une autre idée en tête : il avait besoin d’un stoppeur en équipe fanion. Je suis un compétiteur et j’ai donc pris mes distances avec mon projet initial. »
Comment évolue votre blessure ? « Je suis tellement pressé de reprendre que j’ai recommencé trop tôt et aussitôt j’ai ressenti une grosse douleur derrière la cuisse. Donc, même si l’envie de jouer ne me quitte pas une minute, je dois être patient. J’ai regardé le calendrier des matchs de championnat et je pense être prêt pour le match contre Saint-Marcel dimanche 12 novembre à Montvaltin. »
Jérémy De Simone (à gauche) et Vincent Rameau, coach du Breuil, sont tombés d’accord en moins d’une minute lors d’une rencontre où Jérémy avait poussé la porte du vestiaire du coach. Photo Robert DUMONT
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